Des hommes qui se mouillent #1 - Hugo VERLOMME

Il est des hommes qui rament, certains hélàs qui coulent...et d'autres qui glissent !


1er volet de cette nouvelle petite rubrique qui propose de donner la parole à ces hommes et ces femmes dont la vie est marquée du sceau de l'Océan !

Il était donc plus que naturel de demander à mon ami Hugo VERLOMME de parrainer cette première. D'autres ami(e)s seront ainsi présentés pour témoigner de leur amour, de leur engagement, de leur démarche citoyenne, de leur spiritualité vis-à-vis du Grand Océan !

Un grand merci à Hugo pour sa patience, son sérieux dans ses réponses, et son humour bien trempé...

Un entretien passionnant à lire, à commenter ou partager.


VERS L'HOMME QUI SE MOUILLE





- Ton plus vieux souvenir d'enfance lié à l'océan ? 
À l’époque, les baïnes d’Hossegor formaient des petits lacs sur la grève d’Hossegor, avec des graviers, des puces de mer, des crabes, des lançons, il n’y avait personne sur les plages l’été, à la « mer sauvage ». J’avais six mois, j’étais à poil, en famille, le cul dans les baïnes, heureux comme un roi. (cf photo)

La Gravière - 1953
© Hugo Verlomme

- Un morceau de musique qui te fait penser à l'océan ? 
« Horse Latitude » de Jim Morrisson (The Doors), ou bien « Rubycon » de Tangerine Dream, avec sa douceur, ses plongées, ses vagues, ses tempêtes, ses délires liquides…

 - Une citation océanique fétiche ?
« Ne tourne jamais le dos à la mer »

 - Le mot qui te revient le plus quand tu penses à l'océan ? 
La Vie, les origines

 - Un peu de politique "houlistique"de droite ou de gauche ? ! 
L’eau est la solution, l’eau est la dissolution, là où tout se mêle et converge… Enfin ! La politique c’est tout le contraire : la mise en boîte. (Et en surf on n’aime pas trop les boîtes).

 - Si tu vivais loin de l'océan tu serais… ? 
J’ai vécu des années en pleine montagne, dans l’ouest canadien, loin de tout, et l’on finit par retrouver dans la neige des souvenirs de vagues, dans le bruissement des arbres un ressac océanique et dans la fréquentation des ours des émotions rappelant les rencontres avec les baleines ou les orques. Mais au bout du compte, pour moi le paysage humain est le plus important.

- Un waterman (personnage historique ou pas) qui t'a marqué ?
Le navigateur Bernard Moitessier, que j’ai bien connu au cours des dernières années de sa vie. Il avait la mer en lui depuis toujours, depuis son enfance au Vietnam et ses traversées hallucinantes. Dix mois en mer en solitaire autour du monde… Tout waterman devrait lire « La Longue route ». J’ai vu Bernard nager comme un poisson (il était champion de natation) et plonger (il pratiquait la chasse sous-marine) et jouer dans l’eau comme un enfant. Il avait la mer en lui, il l’aimait et la respectait profondément et je partageais avec lui une vision spirituelle du grand océan.



- Une vision aquatique préférée ? 
Je ne me lasse jamais des vagues sous toutes leurs formes, dessus, dessous, comme autant de bouleversantes naïades qui s’offrent, l’espace d’un clignement d’œil ou d’aile, ou d’elles…

- Théorie de l'évolution et mutation océane : mains palmées ou pousse d'ouïes ? ! 
Nous sommes déjà tellement proches des dauphins tels quels : mammifères apnéistes, bons vivants, branchés sexe. Car je crois (sans rire) que la sexualité participe à l’adaptation océanique. En sexualité tout passe par les fluides, les liquides, les vagues…



- Ton moment de la journée préféré dans ta relation à l'océan ? 
Le matin, l’heure du déjeuner, quand la journée commence, il y a une énergie particulière dans l’air, le soleil monte, le vent est offshore, il y a moins de monde. Et lorsqu’on s’envoie une grosse session le matin, on est « stoked » pour toute la journée, on est bien et l’effet perdure, comme après une belle nuit d’amour…

- Plage urbaine ou plage déserte ? ! 
Avec du respect et l’instinct de jeu, toutes les plages seraient bonnes. L’essentiel est de l’eau propre et des gens sympas ! Mais bien sûr, j’adore les plages paumées, loin de tout, les bouts du monde, les langues de sable qui n’en finissent plus de dessiner des labyrinthes et des vagues dans la mer…

 - On peut avoir le mal du pays, mais as-tu le mal de mer ? ! 
J’ai la chance de ne pas avoir le mal de mer (remède simple et efficace : le gingembre), mais j’ai toujours la mer en moi et je vois les choses sous son prisme à elle : ainsi, les quais de Paris sont constitués de fossiles marins (le pétrole aussi), la mer est partout en nous, notre corps est un océan, je rêve que je vis sous l’eau, même lorsque je suis en ville.



- L'eau-de-vie et une vie dans l'eau sont-elles incompatibles ?
Ce siècle puritain me consterne. Je ne crois pas du tout dans la pureté, qui se rapproche de l’intégrisme. C’est le mot « vie » qui est important (indissociable de « eau »).

- Un remède contre le vague à l’âme ? 
La vague est l’éternel remède, ce qui ne veut pas dire qu’il faut en faire son mode de vie de 7 à 77 ans. J’adore voir l’expression de joie des baigneurs qui se jettent dans les vagues, même les plus grincheux deviennent extatiques !

 - Vivre d'amour et d'eau fraîche ? 
Oh oui, oh oui, mais eau salée aussi, comme l’amour !

 - Eau d'ici ou eau de là ? ! 
Au-delà, c’est encore l’eau. Toutes les fusées envoyées à travers l’espace ne cherchent qu’une seule chose, l’ingrédient sacré, la clef des origines : l’eau.

 - Tu es l'auteur d'une trentaine d'ouvrages sur la mer… Écrire aide-t-il à savoir lire les lignes de vagues ? Y aurait-il un lien, une connexion entre ces lignes ? 
Oui, entre les pages et les plages, un lien existe, j’ai toujours associé l’écriture et la mer et lorsque j’ai écrit mon premier roman, « Mermere », c’est l’encre de mon stylo qui m’a fait plonger et découvrir des mondes sous-marins… Par la suite, le retentissement de mes romans ou documents liés à l’océan m’a valu de nombreuses expériences et surtout des rencontres avec des gens de mer extraordinaires partageant ma passion. Dans l’eau et sur l’eau.



 - La goutte d'eau qui fait déborder le vase… Une construction sur la dune ? Le "tout-tourisme" qui créé parfois une saturation du littoral ? L'absence de prélèvements réels, annuels, et d'étude de la qualité de l'eau dans le sud landes ? ! Du prélèvement de sable sur l'arrière dune pour renflouer les plages ? ! 
Ce sont de très bonnes questions, concomitantes.
Je dirais, pour être franc que les politiques ralentissent considérablement les progrès en ce sens. Ils font partie du système et toute décision entraîne de telles lourdeurs administratives et financières (ainsi que la peur d’être critiqué) qu’on en reste à empiler des commissions, des réunions, des rapports, puis ensuite l’exécutif change de main et l’on repart pour un tour, en balayant ce qui a été fait par les prédécesseurs. Peur de prendre des décisions, peur d’innover, intérêts politiciens… Voilà ce qui nous empêche de progresser… Quel terrible ralentissement de la société, alors que tant de jeunes rêvent d’un autre monde et ne demandent qu’à s’y lancer corps et âme. La France devrait être un leader mondial en matière d’océan. Nous l’avons été. Or, nous regardons nonchalamment notre territoire se faire grignoter. Perdre 20 m de dunes comme l’hiver dernier par endroits en Aquitaine, c’est avant tout perdre 20 m de territoire français ! Nous sommes le 2e domaine maritime mondial. Nous avons le devoir d’innover, de nous tourner à fond vers la mer, qui représente une bonne part de notre avenir. La goutte d’eau qui fait déborder le vase, c’est la lourdeur de notre pays, qui se transforme en indifférence. Il faut penser en citoyens de la terre et de la mer, plus du tout en termes de partis politiques !
Et oui, c’est absurde de construire les pieds dans l’eau, les anciens ne le faisaient jamais. Ils laissaient toujours une zone « tampon » entre eux et la mer.

Le Kayoc à Lacanau...construit sur la dune
© Sud Ouest
Et oui, le tout-tourisme est un problème, mais il montre avant tout le fantastique engouement de notre siècle pour la mer sous toutes ses formes. Cela, ajouté à la multiplication des activités, jeux, sports, engins, disciplines, etc. liés à la mer et la plage, et c’est une véritable révolution que nous sommes en train de vivre ! Et trois fois oui, les prélèvements devraient avoir lieu toute l’année, puisqu’on pratique désormais la mer 365 jours par an, et on devrait les étendre aux PCP, organochlorés, métaux lourds, pesticides, en plus des bactéries. C’est de la santé des nouvelles générations qu’il s’agit, et cela coûte certainement moins cher que d’assumer et de soigner des pathologies lourdes, quelques années plus tard. Le prélèvement de sable est une absurdité, qui ne fait que bricoler une solution, souvent à la suite d’erreurs commises dans le passé (enrochements, digues qui coupent la circulation nord-sud et l’engraissement du sable). La digue Nord d’Hossegor-Capbreton en est peut-être un exemple. Ce qui a été fait par la MIACA (Mission Interministérielle d'Aménagement de la Côte Aquitaine) dans les années 1960-1970 est à revoir sur le plan de l’environnement et des écosystèmes. Il faut se poser toutes les questions. Chercher de nouvelles solutions.

La digue de Capbreton prise d'assauts cet hiver

 - Le littoral se doit selon moi d'être tout simplement une barrière entre l'océan et les humains. Pourquoi est-on allé construire, finalement très récemment à l'échelle de l'histoire, des villes au bord de l'eau ? Uniquement pour du balnéaire ? Attirance inconsciente ? 
60 % de la population humaine vit maintenant à proximité du littoral. Tout le monde aujourd’hui veut une « vue mer »… La mer est la dernière frontière, le dernier espace de liberté. Tandis que le monde habité rétrécit, un chiffre donne le tournis : 45 % de la planète est constituée par les eaux internationales, qui n’appartiennent à personne !

- Allons au bout du raisonnement quitte à être surréaliste, pourrait-on voir Les Sables d'Olonne, Donostia ou Biarritz reculer de 500 m avec réimplantation de dunes et revégétalisation des falaises ? ! 
Il faut toujours attendre une catastrophe pour que certaines décisions soient prises. Je pense que, dès maintenant, des solutions de repli devraient être mises en œuvre sur plusieurs décennies, en douceur (« Hâte-toi lentement » Lao Tseu), à condition que la montée des eaux nous en laisse le temps (et rien n’est moins sûr…). N’oublions pas que l’hiver 2013-14 dernier, des vagues puissantes ont déferlé à l’intérieur de plusieurs villes, aux Cornouailles, en Bretagne, en Aquitaine et en Espagne et Portugal.

Zarautz
© Asier Martin

- À l’instar d'autres citoyens amoureux de l'océan (d'autres amis girondins et basques aux démarches citoyennes seront interrogés), tu tentes à ton niveau de faire du lobbying sur Capbreton et le sud Landes en matière d'érosion et de qualité de l'eau. Penses-tu hélas que seuls des démarches citoyennes aujourd'hui peuvent faire avancer réellement les choses ? 
Ma force c’est d’être électron libre, lanceur d’alertes, je ne suis pas militant, je sers de porte-voix pour d’autres, pour des causes moins glamour que d’autres. C’est plus facile de ramasser les plastiques sur la plage que de s’occuper des problèmes de pollutions invisibles (et ô combien plus inquiétantes et insidieuses). Oui, je pense que l’opinion peut beaucoup, ce sont des préoccupations légitimes, de santé publique, de sécurité, et nous sommes encore loin de la transparence (de l’eau et des données). Il y a un criant manque de moyens des pouvoirs publics à cet égard, en dehors des périodes estivales. Le site de propreté de l’eau du gouvernement n’est presque jamais à jour et pas détaillé. Et lorsqu’une eau est donnée comme acceptable pour la baignade, c’est seulement à l’égard d’un seul type de pollution bactérienne. L’eau n’en est pas forcément « propre » pour autant ! Et quid du hors saison quand tout le monde surfe et se baigne ? Quid aussi du drapeau rouge de pollution que l’on retire à 19 heures ? etc. etc. Tout reste à réinventer en ce domaine. Les PP n’ont pas pris la mesure de la nouvelle révolution des plages, fréquentées été comme hiver par des jeunes et des moins jeunes…

 - Parlons tout de même un peu de surf, tu as connu l'évolution de cet art de vivre en produit marketing surexploité, le bodysurf risque-t-il un jour lui aussi d'être absorbé ? 
C’est peut-être ce qui a tué l’esprit du surf : la mode, le fric. Quant au bodysurf, il est aux origines, et c’est le seul sport de glisse qu’on puisse pratiquer sans aucun accessoire. Quoi de plus beau et pur, de plus simple, que le corps et la vague ? Rien d’autre. Le bodysurf est l’essence même de l’acte de surfer, l’instinct qui pousse les gamins à se jeter dans la mousse avec la banane ! Quand un gars bodysurfe, depuis la plage on ne voit presque rien, à peine sa tête ! Un surfeur juché sur une planche, bras et jambes écartés, couvert de logos sur une planche fluo, ça fait de bonnes photos. Mais où colle-t-on les logos des sponsors sur un bodysurfeur ?

- Pourrait-il y avoir du "slow surf" ?! 
Oui, bien sûr, surtout dans l’attitude vis-à-vis des autres et de l’environnement. Je suis toujours étonné à quel point les surfeurs s’intéressent aux vagues mais peu à la mer ! Bien sûr, s’il existait une pollution supprimant les vagues, ce serait très différent, ils se battraient, se mobiliseraient… Oui mais voilà : la vérité c’est qu’une mer super-polluée peut produire des vagues magnifiques ! Pour l’heure, surf ne rime pas avec écologie. Et c’est quelque chose qui devrait changer !

- Capbreton peut être considéré comme l'un des épicentres du surf radical, y a-t-il tout de même des amoureux du noseriding ? ! 
Ah ah ah.. c’est la guéguerre : les shortboards font la gueule aux longboards (pas que des papys), qui font la gueule aux paddles et autres SUP, qui font la gueule aux kayaks, etc. ! c’est à qui prendra la vague le plus loin. Bientôt, arrivent les foils, qui permettent de surfer la houle ! Pour faire du noseriding, mieux vaut être entre amis ! ;) Et il faudrait aussi penser un peu aux nageurs, bodysurfeurs, baigneurs, qui ont autant droit de cité dans les vagues que les hommes munis de planches !

- Il y a aujourd'hui beaucoup de monde à l'eau sur Capbreton, le niveau des jeunes est de plus en plus élevé… Est-ce une question de vagues ou tout simplement de l'augmentation exponentielle des pratiquants ? ! 
Capbreton est l’une des meilleures plages pour les débutants, car les vagues y sont moins violentes qu’à Hossegor ou Seignosse Ici aussi, nous avons des kyrielles d’écoles de surf. À force de voir les autres pratiquer, à force d’aller dans l’eau très tôt, été comme hiver, le niveau des jeunes monte en flèche. Il y a en effet ici une génération de jeunes chargeurs qui ont la gnaque et les crocs pour les vagues dans toutes les conditions.

Affluence normale à La Gravière
© Laurent Masurel

 - Tu scrutes les line-up du sud Landes depuis très longtemps, dirais-tu que la qualité et/ou la diversité des vagues diminuent au fil du temps ? Le rapport Le Treut explique en effet que d'ici quelques centaines d'années il n'y aura plus de vagues dans le sud-ouest français… !
Je ne crois pas aux prédictions, même lorsqu’elles émanent d’un scientifique aussi respectable. Toujours l’inattendu arrive.
Par ailleurs, au fil du temps, s’il y a bien une chose qui change, c’est notre perception des vagues : nous les voyons différemment parce que nous les pratiquons différemment. Sur Hossegor-Capbreton, ce sont surtout les enrochements, la digue Nord, qui ont chamboulé les plages. La digue crée un engraissement excessif de la plage d’Hossegor en amont du courant (le blockhaus de la Gravière a disparu, enseveli) et au contraire un appauvrissement en sable sur Capbreton, où la mer pénètre de plus en plus (les blockhaus de la Piste sont sur la grève, alors qu’ils ont été construits en haut de la dune). Tout cela a une incidence sur les vagues. La grève d’Hossegor a rétréci, celle de Capbreton s’est élargie. Les bancs de sable bougent sans arrêt avec les tempêtes et les actions humaines. Les vagues changent tout le temps (sauf La Nord, focalisée par le canyon appelé « Gouf »). Là, je ne parle que d’un petit secteur des Landes, mais on retrouve ce genre de problèmes, liés aux digues et aux constructions, ou édifices, un peu partout.

 - Imaginons que les vagues nous parlent, ou plutôt que nous sachions enfin les comprendre intimement, quel serait leur message ? Message d'alarme ou d'espoir ? 
Ouhla ! Ce n’est pas le message qui est important, mais l’oreille qui l’entend. Un même message répété à tout le monde n’aura pas le même effet pour les uns et les autres. Et comme le dit si judicieusement ce cher Lao Tseu (encore lui) : « La voie qui peut être décrite n’est pas la Voie ». Pour certains, les vagues c’est la mort, la peur, pour d’autres l’amour, la joie. La vie est un peu pareille.
Le seul vrai message de la vague c’est celui-ci :
Qu’est-ce que la vie ? De l’eau et du mouvement.
Qu’est-ce que la vague ? De l’eau et du mouvement.
Pensez-y…

- Le poète écrivait jadis "la femme est l'avenir de l'homme". Ne serait-ce pas aussi (ou plutôt ) les vagues ? 
La vague donne la vie (les premiers maillons de la vie terrestre sont arrivés par l’eau, donc par les vagues), la vague c’est l’éternité toujours recommencée, c’est la douceur merveilleuse et fertile, et je crois que les vagues ont encore beaucoup à nous apprendre et à nous apporter pour le futur. Sur nos origines, bien sûr, mais aussi en tant qu’EMR (Énergies Marines Renouvelables), les vagues contiennent une énergie fantastique, comme le clamait déjà Victor Hugo. Pour tous ces sujets, se reporter à mon dernier livre « Vagues, Mode d’Emploi ».

 - Un peu de cosmogonie pour terminer, si la terre est notre Mère, le ciel notre Père… qui serait l'océan… ? Nous-mêmes ?! 
Là, je ne veux pas dévoiler tous mes secrets ! J’ai ma petite (grande) idée (un peu révolutionnaire) là-dessus, mais je ne peux pas raconter ça là, comme ça ! Par contre, on trouvera beaucoup d’éléments liés à cette réflexion dans le tome 2 de mon roman « Samouraï Océan » que je suis en train de rédiger ! À paraître en 2015. À vos vagues !

- Un grand merci cher Hugo.
Je laisse celles et ceux qui voudront se jeter à l'eau découvrir ton dernier ouvrage passionnant qui révèle entre autres choses en quoi le "penser vague" peut toujours plus nous aider à mieux appréhender le monde moderne qui nous entoure et pourquoi semble-t-il plus qu'important à notre époque d'apprendre à "Surfer la vie" comme le dit Joël de Rosnay, un autre homme de lignes...



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